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Thierry Dreyfus a aussi imaginé trois lampes - une de bureau et deux de (1) « Le Monde », 6 octobre 2001. salon - qu'il s'apprête à éditer en quatorze exemplaires chacune ! Colette, la célèbre boutique hypissime de la rue Saint-Honoré (1er arrondissement de Paris), a déjà réservé les siennes.
Trois fois par semaine, à cinq heures trente du matin, Thierry Dreyfus s'extrait du monde. Les gestes lents du tai-chi imprègnent ce survolté. Son rapport à l'existence repose alors sur l'émotion. Interpellé par les philosophies orientales, adepte du kendo (art martial fondé sur le maniement du sabre), il tient à ce que le corps existe pour lui-même. Le il septembre 2001, Thierry Dreyfus était à New York chez Narciso Rodriguez. Il n'a pas travaillé au défilé, il a confectionné des milliers de sandwichs. Et en garde comme une entaille à l'âme.
Le Vif- L'EXPRESS 6 septembre 2002
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